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Les partants accusent : « Mascarade… Putsch…Terrorisme…Et Corruption »
Après la réunion du Bureau politique du bloc national, considérée comme illégale, ayant abouti à l’élection de Ridha Charfeddine à sa présidence et à sa validation par le Bureau de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), une crise semble s’installer au sein dudit bloc.
En effet, coup sur coup et en l’espace d’une heure, trois démissions ont été annoncées en cours de la soirée du lundi 12 octobre 2020. Il s’agit, d’abord, de Hatem Mliki, ex-président du bloc, qui dénonce une « mascarade ».
On cite, ensuite, Souhir El Askri qui, en démissionnant, a évoqué un putsch contre la présidence du bloc avec la complicité de certains lobbies sur qui pèsent de présumés soupçons de corruption. La troisième, jusqu’à présent, concerne Khaled Gassouma qui a indiqué « qu’il n’est plus possible de rester avec ceux ayant choisi de s’aligner derrière la coalition du terrorisme et de la corruption… »
Noureddine Hlaoui