Certaines parties, n’ayant aucun sens de l’intérêt de la patrie et de la Tunisie, continuent à faire propager des rumeurs mensongères et des intox destinées à alimenter la psychose tout en ayant l’air de vouloir la « fin » du président de la République.
Ghazi Chaouachi, en dépit de quelques propos sages et sensés, il continue à insister sur « la détérioration de l’état de santé du chef de l’Etat » allant jusqu’à se demander si la « Tunisie a toujours un président de la République ».
Bien entendu, nous ne parlerons pas de Dr Sahbi Ben Fraj qui, voulant profiter de sa qualité de médecin, essaie de créer une psychose chez les Tunisiens en insistant lourdement sur les «7 secondes montrant Béji Caïd Essebsi avec le ministre de la Défense, Abdelkrim Zbidi ». Il a même insinué qu’il mettait en doute l’authenticité de cette vidéo
Monsieur Sahbi Ben Fraj semble avoir oublié qu’il met, ainsi par la même occasion, en doute la crédibilité du ministre de la Défense, resté au-dessus de la mêlée et dont le patriotisme est unanimement reconnu
Ne parlons plus de ces « barons en papier » de Tahya Tounès qui, « perdant les pédales et aveuglés par leur dépit de la non application des amendements inconstitutionnels », appellent à les publier au JORT sans signature et à les mettre en pratique comme si la Tunisie était une « république bananière ».
En tout état de cause, tous les auteurs des « passages en force » ont sûrement oublié qu’ils ont affaire à un homme d’Etat au sens aigu du concept de l’Etat et qui, mû par cet esprit, n’a pas signé des amendements changeant les donnes en matière électorale à la 90ème minute de la dernière année avant les élections.
Quand on est mû par des considérations morales et par une volonté de rectifier le tir, même tardivement, on ne laisse par les autres parties politiques profiter d’une situation illégale avant d’en priver d’autres parce que ces autres risquent de les empêcher de gagner. Alors, on use de moyens détournés et de forcings jamais vus.
En témoigne le passage d’Iyad Dahmani à l’Assemblée des représentants du peuple en ce fameux 18 juin 2019 pour imposer « ses » lois en faisant voter des amendements dans un laps de temps record, aidé en cela par le Nahdhaoui, Abdelfattah Mourou, vice-président de l’ARP et président de la séance qui restera, selon les députés de l’opposition, dans les annales…
N’en déplaise aux détracteurs du chef de l’Etat, qui font propager les intox les plus fantaisistes et alarmistes, des sources dignes de foi et proches du Palais de Carthage nous assurent que BCE se porte bien et que son état de santé s’améliore de jour en jour. Il sera, probablement absent à la cérémonie traditionnelle du 25 juillet au siège de l’ARP au Bardo, mais il s’exprimera prochainement.
Les mêmes sources ajoutent que BCE ne parlera pas ces jours-ci car ses propos pourraient influencer le déroulement de cette période délicate de démarrage de l’opération électorale avec le dépôt des listes des différents partis. « Mais il parlera quand il jugera le moment opportun et adéquat… »
Et si le président de la République dira tout ce qu’il aura à révéler, certaines parties « calomniatrices » pourraient en trembler. A bon entendeur salut !…
Noureddine HLAOUI