Il est présenté comme étant le coordonnateur du mouvement « Doustourna », qui n’a rien de mouvement puisqu’il s’agit, désormais, d’une coquille vide avec un seul adhérent connu. Il est également présenté comme étant « un grand spécialiste en droit constitutionnel. Encore faux. Il n’est rien qu’un enseignant de droit de second rang dans le sens où il l’enseignait en tant que matière secondaire à l’ESC.
Vous avez sûrement compris de qui s’agit-il tellement il s’est montré, ces derniers temps comme étant le « sauveur » du processus pour la formation du futur gouvernement devant être présidé par Habib Jemli, désigné par Ennahdha.
Malgré l’échec de sa médiation, Jawhar Hazgui, dit Ben Mbarek, continue à parler et à sillonner les plateaux radiotélévisés et poursuit ses scènes où il ne fait que crier et multiplier les gestes théâtraux. Et puis, pourquoi M. Hazgui tient-il à écarter tel ou autre parti ? « Parce que ses dirigeants sont corrompus et parce qu’il faut privilégier la ligne révolutionnaire » », rétorque t-il.
Autrement dit, M. Hazgui se pose en juge, prononce ses sentences et distribue les « oui » et les « non ». Et il a beau répéter qu’il ne cherche aucun intérêt personnel, mais les bruits sont incessants quant à ses convoitises pour avoir un portefeuille au sein de la prochaine équipe à La Kasbah…
N.H