- Des blogueurs connus pour leurs services rendus aux Khouenjiya tentent de semer la zizanie au sein du staff présidentiel à Carthage
- Attaques sans fondement et chantages contre des politiciens, des sécuritaires et hommes d’affaires
- La Sécurité et la Justice sont appelées à mettre un terme aux nuisances de ces « rats de l’ombre »
Tout se fait ou presque, désormais, à travers le réseau social de Facebook sur la toile et en virtuel. Les grandes batailles, les déclarations les plus importantes ont lieu à travers les pages dont on ne distingue pas, parfois, entre les vraies et les truquées pour désorienter le public.
On sait aussi que les batailles les plus sérieuses se déroulent par le biais de ces pages. Et c’est à qui, disposant des sites et des pages les plus effecaces et les mieux gérés par, ce qu’on appelle, les « admin », d’avoir les meilleures chances de l’emporter, sachant qu’un argent fou est dépensé dans ces pages, car il faut les sponsoriser et en financer les « admin».
Mais le plus grave est que les responsables à des échelles diverses et dans les divers secteurs, notamment politiques et économiques, se font la guerre à distance. Un des blogueurs les plus « louches », n’est autre que Maher Zid d’al Karama qui, condmané à 4 ans de prison, continue à jouir de la liberté.
Plus encore, il n’a pas hésité à accuser le ministère de la Défense de corruption dans l’affaire de l’achat d’avions de combat, mais il n’est pas inquiété outre-mesure.
Les admin des pages connues pour leur proximité de Youssef Chahed accompagnent ceux qui « paient le plus », plus particulièrement un site bien déterminé et devenu célèbre dans les actions de chantage, documents enregistrés à l’appui.
Ces sites qui n’ont pas d’autre religion et de morale que le gain de l’argent sont exploités par des personnalités et des partis dont notamment les khowenjiya qui les utilisent pour « souiller leurs adversaires ».
Un autre blogueur est à mettre dans cette case et qui est en train, ces derniers temps, de tirer sur tout ce qui bouge. Après les fuites enregistrées de ses converstions avec la cheffe du cabinet présidentiel où il avait été « chargé » de dénigrer des personnalités dont l’ex-ambassadeur de la Tunisie auprès de Washington, on le voit à proximité d’un ancien haut responsable installé en France
En effet, usant de photos et de statuts de cet ex-responsable pour semer la confusion et le trouble dans les positions officielles du président Kaïs Saïed, ce blogueur se présente comme étant le soutien de Nadia Akacha et de Thameur Bdida et leurs fidèles contre ce qu’on appelle le clan de Naoufel Saïed et autres Ridha Mekki Lenine et Sonia Charbti.
Heureusement que les gens n’ont pas la mémoire courte et se rappellent des campagnes menées par ce même blogueur « mercenaire », qu’on n’a jamais vu en Tunisie, pour le compte des khouenjiya sous la domination de la Troïka, de Chafik Jerraya et bien d’autres politiciens et hommes d’affaires Sans oublier la toute récente campagne de dénigrement qu’il mène contre un nouveau haut responsable sécuritaire et dont les instigateurs et les dessous sont connus.
Bref, en ces moments où le chef de l’Etat mène sa guerre contre la corruption, ces blogueurs, « barons » de la toile mènent leur sale guerre de l’ombre. Et sachant qu’ils son connus, l’appel est lancé au président de la République pour mettre un terme à leurs méfaits et éliminer leurs capacités de nuisance grâce aux enquêtes et aux mesures nécessaires qu’il faut entreprendre par les services sécuritaires et judiciaires
Noureddine HLAOUI