Dans une interview accordée à une radio privée, l’homme de média qui fait de la politique, Nizar Chaâri a répondu, des fois clairement et, d’autres, d’une manière ambiguë, à des questions d’actualité
Concernant son projet politique, il a noyé le poisson dans l’eau tout en se montrant trop prétentieux dans le sens où il se considère comme étant l’homme de la prochaine étape. « L’Islam politique est fini et n’a plus d’avenir », Kaïs Saïed « s’est suicidé politiquement », en lançant son action du 25 juillet 2021, Abir Moussi est en train de diviser les Tunisiens et « pendant plus de trois quarts d’heure, Nizar Chaâri a dit de généralités et, surtout, pour dire que tous les politiciens sont en train de faire fausse route et que seul lui se trouve sur la bonne voie pour réussir aux prochaines elections présidentielles, ordinaires ou anticipées.
Toutefois, il ne dit rien sur sa démarche consistant à faire de la politique « clandestinement » puisqu’il se cache derrière Tunivisions et d’autres associations américaine, qataries. « Faux, répond-il, avant de préciser que c’est Moussi qui fait véhiculer de telles fakes ». Et qui quel mal y a-t-il à ce que je sois énigmatique ?, se défend-il…
De même, il reste très évasif sur les sources de financements de ses activités se contentant de dire qu’il y a les participations des jeunes et des sponsors. Mais est-ce suffisant pour expliquer les coûteuses activités organisées dans les hôtels de luxe et qui coûtent des millions de dinars, selon certaines estimations, sachant que ces activités regroupent des milliers et des milliers de personnes.
Noureddine H.