Les agents et cadres de l’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE), ont annoncé dans une déclaration que la grève entamée le 3 janvier avec présence sur les lieux au siège de l’administration centrale et dans toutes les administrations régionales, faisait suite à la « non satisfaction de leurs revendications par le conseil de l’instance ».
Ils estiment aussi que le maintien du statu quo “représente une réelle menace pour l’aptitude de l’instance à honorer ses engagements lors des prochaines élections législatives et présidentielle » et qu’ils “n’assumeront aucune responsabilité en cas de suspension de l’activité de l’instance”.