Les réseaux sociaux, plus particulièrement, celui de Facebook, sont autant d’outils positifs s’ils sont utilisés à bon escient, autant ils peuvent être à l’origine de malheurs et de méfaits si on y a recours loin de tout scrupule
Il s’agit là d’une réalité qui se confirme de jour en jour. C’est devenu, en effet, un moyen pour certains de verser leur fiel à l’encontre leurs semblables avec un esprit de méchanceté gratuite et sans limites.
Le récente affaire de « trafic de drogue » a été une parfaite illustration de cette mentalité, malheureusement, négative. Il a suffi que des figures publiques du monde des arts, du sport y soient citées pour sue des réactions sans fin soient exprimées et partagées sur la toile.
En effet, c’est Nour Chiba qui « ramasse » tous les dénigrements et autres insanités de la part des Facebookers qu’érigent en jugent pour le condamner aux sentences les plus sévères. Pourtant, les détails et les circonstances du dossier ne sont pas encore connus tout en faisant partie des secrets de l’instruction.
Et bien entendu, cela ne fait nullement partie du principe de la liberté d’expression, comme veulent le faire croire certains. Cela fait, plutôt, partie, de la diffamation, hypothèses tendancieuses.
Il faut dire qu’à ce stade de l’affaire, tout ce qu’on peut dire est de « prier » pour que toute la lumière soit faite sur cette question sans se mêler de la nature du verdict qui doit être prononcé.
Et dire que Nour Chiba a fait le bonheur et la gaieté de centaines, voire des milliers de familles. Alors qu’on lui rende la pièce de monnaie, au moins par le silence et la neutralité au lieu de condamner, peut-être, un innocent et le jeter en pâture au lynchage médiatique et à la vindicte populaire.
Et puis, finalement, et comme le veut le principe élémentaire de justice, l’accusé demeure innocent jusqu’à preuve du contraire, sachant que son avocat qui maîtrise les tenants et les aboutissants de l’affaire assure « qu’il est innocent… ».
Noureddine HLAOUI