Après le sobriquet de « Machallah » attribué à la cheffe du gouvernement, Nejla Bouden, les Tunisiens en découvrent un autre, celui de « Inchallah » collé à la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemsia.
En effet, dans une déclaration accordée aux médias, ce matin du mercredi 30 mars 2022, la ministre a fait précéder toutes ses réponses par le terme « Inchallah ». Autrement dit, le contenu des réponses est aléatoire et que rien n’est sûr.
Et si l’on sait que la ministre parlait de thèmes cruciaux à savoir le budget et les négociations avec le Fonds monétaire international (FMI), on comprend mieux le désarroi des citoyens qui voit que le sort du pays est basé sur « Inchallah », surtout que le budget de l’Etat 2022 est tributaire dudit accord avec le FMI.
N.H