L’Ordre des avocats interagira positivement avec le dialogue, a déclaré son président, Brahim Bouderbala, qui a ajouté que le barreau présentera un contenu sérieux dans les domaines économique, social et politique et que sa présence ne sera pas juste pour la forme.
Le bâtonnier a assuré que les préparatifs, lancés à l’issue de la réunion qui a eu récemment entre le président de la République et le juriste Sadok Belaïd, avancent vigoureusement.
Pour sa part, le président de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH) Jamal Msallem a rappelé que l’organisation avait longtemps, et ce, avant même la date du 25 juillet, appelé à la tenue d’un dialogue. La Ligue s’engage dans tout processus participatif ayant pour objectif de sortir de la crise que vit le pays.
Le président de la LTDH a insisté sur le besoin d’une vision participative engageant toutes les parties sans conditions préalables, afin de répondre aux attentes des Tunisiens et de défendre le principe d’un Etat civil garantissant la séparation entre les pouvoirs et protégeant les droits.