Les cadres et employés de la « Carthage Power Company » (CPC) exerçant à la centrale électrique de Rades 2, ont repris, jeudi, le sit-in qu’ils avaient entamé la semaine dernière, pour revendiquer le versement de leurs indemnités de fin de service et leurs primes au titre d’heures supplémentaires. Ils se sont introduits, de nouveau, dans le siège de l’entreprise située dans la zone pétrolière de Rades (Gouvernorat de Ben Arous).
A noter que la CPC avait fourni des prestations techniques au niveau de la station électrique en question, conformément à un accord qui stipule la remise de la station aux services de la STEG à la date du 13 mai courant, une clause qui a été honorée par la CPC.
La centrale électrique de Rades 2 assure une capacité de production de 470 mégawatts, ce qui représente 16% de la production nationale totale.