TUNIS – UNIVERSNEWS – L’agent coule à flots chez les chantres de l’islam politique et plus on en découvre, plus il y en a, encore, ce qui en dit long sur le plan ourdi pour condamner le peuple tunisien à subir leur diktat… et pour longtemps. Il s’est avéré que la haine portée par le « gendarme du monde » contre tout ce qui est arabe est devenue bien ancrée de traiter tout pays appartenant à cette catégorie comme un ennemi potentiel qu’il faut détruire.
Pire encore, ce sont des pays arabes et islamiques à la solde des Etats Unis qui sont les instruments et les financiers de ces plans diaboliques, et il ne s’agit pas, seulement, de la Turquie qui aide à l’exportation de nos « jihadistes » vers les zones de tensions, ou du Qatar, ce petit poucet du terrorisme, qui à eux deux agissent à découvert.
Les nouvelles qui sont parvenues à Universnews hérissent la peau, avec tellement d’argent sale qui circule chez les marchands de l’islam politique qu’on est enclin à penser que certaines parties se délectent de la sape orchestrée, afin de détruire les fondements de l’Etat moderne en Tunisie et de nous faire régresser de nombreux siècles, avec des régimes totalitaires où seule la « ghanima » les intéresse.
Dans ce sens, Universnews a appris de sources très fiables que les agents d’une unité sécuritaire spéciale d’El Gorjani ont maintenu en détention six dirigeants du mouvement Ennahdha et des responsables d’associations «de bienfaisance» affiliées au mouvement. La décision a été prise après la confirmation de leur implication dans des délits de blanchiment d’argent se chiffrant à des centaines de milliards et leur accès à des flux financiers suspects, très importants depuis l’étranger et qui circulent en Tunisie sous le couvert «d’entreprises fictives» et d’associations «de bienfaisance».
Par ailleurs et suite à l’arrestation de l’ancien leader du mouvement Ennahdha, Abdelkrim Slimane, le parquet près le pôle judiciaire financier a autorisé des agents de l’Unité nationale de recherche sur les crimes financiers, d’El Gorjani, à élargir les recherches sur le blanchiment d’argent.
Une dizaine d’autres personnes, dont des dirigeants actuels et anciens d’un parti politique et des hommes d’affaires, et des personnes spécialisées dans le « change » ont été arrêtés, sur la base de détection de flux financiers suspects en provenance de l’étranger, de dépôts et de transferts de fonds importants, de manière suspecte.
Le parquet a également émis des mandats de recherche contre d’autres suspects pour les empêcher de fuir à l’étranger.