D’après son PDG, Moncef Harrabi, la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG) a l’intention d’opérer une saisie sur les comptes bancaires d’un certain nombre d’institutions publiques afin de se faire rembourser les factures d’électricité impayées ayant entraîné une grave crise de liquidité de l’entreprise.
Harrabi a expliqué que les impayés des factures d’électricité sont passées de 250 millions de dinars en 2011 à 1450 millions de dinars actuellement répartis entre les secteurs public (ministères et institutions publiques) et privé (qui comprend la consommation des ménages et les entreprises économiques).