Selon Mohammed Boughaleb, chroniqueur à Shems fm, parmi la personnalité visées par les lettres, dites empoisonnées, on trouve Néji Bghouri, président du SNJT, Hamza Belloumi, Lotfi Laâmari, Naoufel Ouertani et Maya Ksouri.
Le secrétaire générale de l’UGTT, Noureddine Taboubi, les secrétaires généraux adjoints Bouali M’barki et Sami Tahri ainsi que la présidente de l’Instance nationale de lutte contre la traite des personnes, Raoudha Laâbidi, font également partie des individus visés.
L’expéditeur des colis envoyés aurait usurpé l’identité du syndicaliste sécuritaire Tarek Riahi
Selon un communiqué de l’Intérieur, les lettres ont été soumises à l’analyse des services spécialisés qui ont confirmé leur caractère toxique.
A cet égard, le ministère de l’Intérieur a appelé les hommes politiques, les professionnels des médias, les syndicalistes et autres personnalités publiques à informer leurs services sur tous les objets suspects.