TUNIS – UNIVERSNEWS – Le plan ourdi pour submerger la Tunisie comprend plusieurs volets, afin de mettre l’Etat dos au mur. Cela se confirme, avec cette aide de la Suisse, afin que les enfants subsahariens illégitimes soient intégrés dans la société tunisienne.
En s’opposant à la politique d’installation de subsahariens irréguliers en Tunisie, les pouvoirs publics sont face à un autre problème qui est celui de l’intégration de leur progéniture, née de père inconnu, dans la société tunisienne… et l’un des agents pour faire réussir ce plan est, comme par malheur, le ministère de la Femme, de la Famille, de l’Enfance et les Séniors
A-t-on idée, dans un pays qui n’arrive pas à trouver des solutions à la mendicité des enfants, à l’errance de ses enfants abandonnés dans la rue et aux enfants tunisiens sans soutien qu’un ministère puisse s’engager dans pareille aventure, alors que c’est, pourtant, c’est la mission du Haut-commissariat pour les réfugiés qui tarde à montrer son vrai visage, en Tunisie, et accomplir la mission pour laquelle ses membres sont payés ???
Malgré l’attachement du chef de l’Etat au principe de non-installation et de ne pas permettre à la Tunisie de devenir une « dépotoir pour les immigrés illégaux », le ministère de la Femme conclut un accord de coopération avec l’Association pour la défense des droits de l’enfant et l’ambassade de Suisse pour financer un plan d’intégration des enfants subsahariens de parents inconnus, et ce sous l’égide des agences étatiques tunisiennes.
Ce qui est surprenant, c’est que les organismes étatiques en Tunisie ne sont pas en mesure d’absorber les enfants des rues en Tunisie et ceux de filiation inconnue, y compris les enfants sans soutien, qui se trouvent à proximité dans le gouvernorat de Tunis et du ministère de la Femme qui va trouver les moyens d’héberger les enfants illégitimes de subsahariens et de financer des projets pour leur intégration….! !!
Par conséquent, une fois de plus, cela se confirme que les associations Soros ont sapé la souveraineté nationale, durant la période de la sombre décennie, grâce à ce fameux décret sur les associations.
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