Dans un communiqué du 12 mars, la société UNIMED a démenti tout lien avec le décès les 7 et 8 mars de 12 nouveaux nés, dénonçant le harcèlement, dont elle est l’objet depuis plusieurs années.
Le communiqué, signé par l’ensemble des cadres et employés de la société, déplore les efforts persistants pour nuire à l’image d’UNIMED, une campagne de dénigrement liée, d’après eux, à la personne de son Président Directeur Général, Ridha Charfeddine, en raison de ses activités politiques et sportives.
Le communiqué rappelle qu’UNIMED exporte 50% de sa production vers des pays comme la France, l’Italie, La Suède, l’Allemagne… et se conforme aux standards internationaux les plus exigeants, avec 30 millions d’unités vendues annuellement, et 170 produits.
« Il est du devoir de tout Tunisien patriote et jaloux des acquis de son pays de sauvegarder toute entreprise tunisienne qui réussit et non d’œuvrer à lui causer du tort en diffusant des contrevérités. Comme ce fut le cas après la mort de nourrissons dans un hôpital de Tunis, lorsque certains des professionnels de la désinformation se sont mobilisés pour répandre des mensonges et impliquer le nom de notre société dans un drame qui a touché les familles des nourrissons décédés et a laissé la tristesse et la consternation dans nos cœurs comme tous les Tunisiens. Alors que notre société n’a absolument aucun rapport avec cette affaire.
Il est de notre devoir et de notre responsabilité professionnelle et éthique de clarifier à l’intention de l’opinion publique que le Docteur Ridha Charfeddine, fondateur et PDG des Laboratoires UNIMED définit les stratégies générales de l’entreprise et préside à la mise en place de ses politiques en tant qu’institution nationale rayonnant à l’intérieur et l’extérieur de la Tunisie ».