Mondher Cherni, secrétaire général de l’Organisation tunisienne contre la torture, a révélé que 500 personnes de retour des zones de conflits ou inculpées dans des affaires de terrorisme sont assignées à résidence.
Il a précisé que ces personnes n’ont pas été avisées à l’avance de leur mise à résidence surveillée mais plutôt lors de leur arrestation et qu’elles ont signé des documents sans connaître le contenu.
Le 4 mars dernier, Youssef Chahed déclarait ainsi que la Tunisie avait réussi à contrôler les menaces terroristes même si un certain nombre de ces anciens jihadistes entrent dans le pays de manière secrète.