Aksa Bahri, conseillère auprès de la cheffe du gouvernement, aurait démissionné de son poste, une hypothèse renforcée par son absence lors de la cérémonie présidée, vendredi 1er avril 2022, par Nejla Bouden pour le lancement des travaux de réalisation de la station de dessalement des eaux à Sfax.
Or, vérification faite auprès des milieux proche de la conseillère, on relève qu’elle n’assume plus ses fonctions depuis plusieurs jours et qu’elle absente de son poste depuis près d’un mois. Elle aurait même susurré à certaines cadres de la présidence du gouvernement qu’elle ne dispose pas des moyens et autres conditions pour mener à bien sa mission.
Et si la cheffe du gouvernement ne s’en est aperçue que ce vendredi à Sfax, ce serait grave puisque cela prouve qu’il n’y a pas de communication entre la cheffe du gouvernement, qui parle pourtant en japonais, et sa conseillère Aksa Bahri qui passe pour être, selon les observateurs avertis, comme étant très compétente dans sa spécialité, ce qui lui vaut d’être hautement sollicitée par les instances internationale.
D’ailleurs, elle serait même déjà installée à l’étranger.
N.H