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L’enquête devrait démasquer qui se trouve derrière «le dénonciateur »
On se rappelle tous des fameuses déclarations de Youssef Ben Salem, plus connu sous le sobriquet de « Chouchou », ce dernier risque gros et d’être traduit devant la justice pour propagation de fausses nouvelles destinées à créer des perturbations à l’ordre public.
En effet « Chouchou » a tenu, lors d’une interview, que certains connaisseurs estiment qu’elle est « arrangée », des propos incohérents, confus et incompréhensibles, touchant à de « supposées caches d’armes, des plans d’attentats à Ouerdanine et dans tout le pays ainsi que des réseaux de corruptions concernant des personnalités nationales y compris au sein même du Palais de Carthage.
Mais étant donné la gravité du contenu, le ministère public a décidé de convoquer « l’étrange accusateur » au Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme où après avoir été entendu sans avoir la moindre preuve de tout ce qu’il avait avancé, il a été redirigé vers le Tribunal de première instance de Monastir pour être interrogé par le juge d’instruction.
Selon les dernières nouvelles, « Chouchou », qui avait fait des « révélations » de la plus haute gravité allant jusqu’à lancer des accusations en citant des noms, est appelé à fournir des preuves tangibles de tout ce qu’il a avancé, sinon, logiquement et légalement, il devrait être traduit devant le Tribunal pour y être jugé selon les chefs d’inculpations qui pourraient lui être imputés.
D’ailleurs, on rappelle que la radio Nejma et les journalistes qui avaient interviewé « Chouchou » ont été rappelés à l’ordre par la HAICA au vu de la nature de l’interview «tendancieuse et ciblée »
Les observateurs sont convaincus que « Chouchou » ne serait pas plus qu’un maillon utilisé par des forces occultes pour faire de la diversion et lancer des accusations gratuites dans un objectif clair de règlement de comptes. C’est ainsi que l’enquête est appelée à tirer au clair cette affaire et, plus particulièrement, démasquer les personnes ou les parties se trouvant derrière le « dénonciateur » en le poussant dans un engrenage qui le dépasse…
Noureddine H.
