Tunis – UNIVERSNEWS (CULT) – Universitaire, agrégé de lettres modernes, spécialiste de langue et littérature françaises (enseignant à l’Université de Tunis et de Manouba), traducteur trilingue et romancier, Béchir Garbouj a présenté son dernier roman «Les Persiennes» au Rotary Club de Nabeul.
Passionné de littérature et de fiction, Garbouj a mis 20 ans pour écrire ce roman. «C’est une œuvre d’imagination. C’est l’histoire d’amour d’un prof qui va tourner au drame et passer une année en prison. Elle, l’étudiante, a aussi passé un an à l’ombre. Elle a fauté, elle était complice, la justice a frappé. Mais maintenant qu’ils ont payé, le plus dur est d’apprendre à vivre dehors ».
L’amour est ici l’élément moteur dans son récit. Béchir a essayé d’innover et de nous raconter cette solitude amoureuse, cet isolement. Tout est raconté d’une façon indirecte. Un récit cruel, souvent incandescent, un double regard sur les chemins escarpés de la passion
Il s’agit du cinquième roman en sept ans après « Passe l’intrus » (Comar d’or 2017), « Toutes les ombres », « L’émirat », « La nuit du doute » (finaliste du Prix Orange du livre en Afrique) et en attendant « Les ligaments croisés » programmé pour 2025. (M.S)