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Un fervent amateur du travail collectif et le garant de sa continuité
En ces temps de crise sanitaire mondiale due à la propagation du Coronavirus, la plupart des secteurs continuent à en subir la conjoncture et les retombées.
Les banques n’y échappent pas tout en tirant leur épingle du jeu à des degrés divers.
Parmi les banques qui se sont distinguées par leurs résultats positifs, au cours des dernières années, on citera la Banque nationale agricole (BNA) qui a connu une transition de taille dans le sens où elle se trouve, désormais, gérée par un nouveau directeur général.
Il s’agit de Mondher Lakhal, nommé à titre d’intérim en remplacement d’Habib Haj Gouider, parti à la retraite à l’issue d’un mandat bien réussi de cinq ans. N’empêche qu’il s’affirme déjà de par la clarté de ses visions et sa détermination à relever les challenges d’avenir tout en respectant la continuité. Il faut dire qu’étant un pur produit de la promotion interne, il se trouve comme étant bien placé pour réussir ce pari afin de consolider les résultats positifs et partir vers des paliers supérieurs.
Malgré les temps difficiles durant l’année 2020 et qui pourraient se prolonger pour plusieurs mois encore, le nouveau directeur général par intérim fait tout pour maintenir le leadership de la BNA en tant que « Banque de l’Agriculteur » sans négliger, pour autant, les autres vocations en faveur des entreprises, en général, et des particuliers. Étant un fervent amateur du travail collectif et le garant de sa continuité.
Tout en étant optimiste quant à l’aptitude du secteur à trouver les solutions adéquates pour l’après COVID-19, Mondher Lakhal met en exergue les chiffres « solides » de la BNA qui dispose d’une assise financière confortable et bien visible depuis 2015. Ainsi, côté chiffres, bon à souligner que les fonds propres se sont élevés, en 2019, à 1,9 milliard de dinars prouvant, de la sorte, la résilience et la capacité de la Banque à résister aux temps de crise.
D’ailleurs, l’augmentation du capital de 320 millions de dinars, réalisée en cette même année de 2019 ne fait que confirmer la tendance consolidatrice des fonds propres vers un niveau lui permettant d’amortir les éventuels chocs. Bon à préciser que le directeur général intérimaire est en symbiose avec le personnel pour réussir les plans de transformation et de modernisation de la BNA avec une accélération de la digitalisation pour concrétiser le slogan cher à toute l’équipe afin d’en faire « la Banque de demain ».
N.H
