«Plusieurs facteurs internes et externes ont conduit au déclenchement de ce qu’on appelle révolution. Pourtant, il s’agissait d’un incident banal et ordinaire qui pouvait survenir dans n’importe quel autre pays.
En Tunisie, il y avait eu déjà plusieurs cas d’immolation par le feu avant celui de Tarak Bouazizi, et non Mohamed Bouazizi. Car, c’est la chaîne qatarie d’Al Jazeera qui lui a prêté ce prénom pour lui conférer un halo à caractère religieux. D’ailleurs, cela rentre dans le cadre de la confection et de la fabrication de la personnalité et d’orienter l’opinion publique… ».
C’est ce qu’a révélé l’avocat Me Mounir Ben Salha, aujourd’hui mercredi 3 avril 2019, sur les ondes de la radio IFM., avant d’ajouter qu’Al Jazeera voulait fabrique la personnalité d’un jeune diplômé de Harvard qui s’appelle Mohamed et qui n’a pas trouvé de travail ».
« Pourtant il s’est avéré qu’il n’est pas diplômé, il s’appelle Tarak et non Mohamed, que l’employée municipale, qui l’avait giflée, avait été humiliée par des propos déshonorants et que Tarak Bouazizi n’était pas dans un état normal lors des faits…. », a conclu Me Ben Salha en substance.