TUNIS – UNIVERSNEWS – Même ceux qui avaient été tué par leurs soins n’échappent pas à la vindicte des dirigeants nahdhaouis qui utilisent tous les leurres et tous les subterfuges pour semer le doute dans l’esprit des citoyens.
L’exemple des accusations de l’ancien ministre de la Justice, auteur de la dislocation du pouvoir judiciaire est très édifiant, parce qu’il a osé porter des accusations calomnieuses contre un martyr qui a payé de son sang son opposition au courant islamiste malfaisant… Il a été assassiné par un islamiste radical qui, en plus, était son voisin, cause de son amour pour sa patrie.
Une source bien informée a confirmé à Universnews que le parquet général près le tribunal de première instance de Tunis a autorisé, ce mardi, l’ouverture d’une enquête concernant une déclaration médiatique faite par le leader d’Ennahdha, Noureddine Bhiri, qui accuse le martyr Mohamed Brahmi et sa veuve, Mbarka Brahmi, d’implication dans l’envoi de jeunes tunisiens vers la Syrie.
Selon la même source, la décision du ministère public était basée sur les articles du nouveau décret réglementant les moyens de communication audiovisuelle et sanctionnant les fake news sur les réseaux sociaux.