TUNIS – UNIVERSNEWS – L’affaire des ingénieurs japonais retenus à l’aéroport international Tunis Carthage donne matière à de nombreuses suspicions, au moment où les pouvoirs publics crient à hue et à dia que tout est prêt pour accueillir la TICAD 8 dans les meilleures conditions et que le pays est prêt à faire réussir cette manifestation lourde en conséquences et qui peut, même, déterminer l’avenir du pays et ses relations avec l’Afrique et le Japon.
A ce propos, on pense que le ver est dans le fruit, encore, et que les forces occultes sont en train d’agir pour faire échouer cette manifestation. Sinon, comment expliquer que des ingénieurs spatiaux, de surcroit japonais, puissent être retenus pour interrogation pour une durée de deux heures.
On ne peut pas imaginer que les autorités japonaises n’aient pas connaissance de leur arrivée et on s’étonne du fait qu’ils n’aient pas été accueilli d’une manière officielle… tout en nous interrogeons, comment ces douaniers ont pu agir de la manière sans en référer à leurs hauts supérieurs. Et cela implique que ces agissements ne peuvent pas être passés sous silence, parce qu’il y a anguille sous roche et on sent l’odeur des manigances des islamistes et de leurs serviteurs.
Les douanes tunisiennes avaient détenu mardi pendant plusieurs heures un groupe d’ingénieurs spatiaux japonais à leur arrivée à l’aéroport international de Tunis-Carthage en possession d’un plan de satellite pris par erreur pour un dispositif d’espionnage, rapporte le site North Africa Post.
Selon l’Association tunisienne de l’espace, les ingénieurs ont été interrogés pendant deux heures et n’ont été libérés qu’après l’intervention des hautes autorités du pays.
Comme on le voit, le monde entier est au courant de ce qui est arrivé –et les agissements des douaniers ne peuvent pas être fortuits.
Pourtant, l’ambassade du Japon en Tunisie avait annoncé, lundi 23 août 2022, que la JAXA «que Japan Aerospace Exploration Agency», qui est l’organisation chargée du développement du programme spatial japonais, a sélectionné la Tunisie, le Kenya et la Maurice comme partenaires pour un projet du lancement et de la libération des nano-satellites depuis la Station Spatiale Internationale « KIBO » qui signifie « l’espoir » en japonais… mais, ce qui a été fait, risque de détruire tous les espoirs !!!
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