- Les autorités et les compétences sanitaires et médicales appelées à prendre position…
Ledit « Dr » Zakaria Bouguerra n’arrête pas de faire des apparitions médiatiques qu’il veut spectaculaires et alarmantes dans le sens où depuis des années, il ne fait rien d’autre que de recommander avec insistance le confinement général et total avec une fermeture hermétique des frontières du pays.
Ce qui est encore plus grave c’est que certains médias lui prêtent l’oreille pour l’écouter et faire entendre sa voix avec ses idées farfelues. Qu’on en juge : En juin 2012, il a assuré que « la Tunisie n’a qu’un seul choix : ou bien le confinement total ou alors l’effondrement total ».
On n’a pas opté pour le confinement total et notre pays connaît une nette amélioration de la situation sanitaire.
Auparavant, au milieu de l’an 2021 en cours, le même dit Dr Bouguerra assure avoir « alarmé le président du parlement déchu sur la gravité de la situation avant de préciser que si « on applique le confinement général aujourd’hui, on va perdre 800 personnes mais si on ne le fait pas, on va perdre 300 mille personnes ». On vous laisse faire le constat de ce prétendu médecin.
Et pas plus tard que ces deux derniers jours, Zakaria Bouguerra revient à la charge dans un statut publié sur sa page Facebook, où il a appelé à fermer toutes les frontières aériennes, terrestres et maritimes tout en revendiquant l’instauration d’un confinement général.
Mais comment les autorités sanitaires laissent parler un personnage aussi léger dans le sens où, par ses paroles, il crée un état de psychose nuisible pour l’ordre national et la sécurité des Tunisiens.
A ce qu’on sache, la Tunisie dispose d’un ministère de la Santé et d’un Comité scientifique composé de sommités médicales face à qui ce Dr Bouguerra n’arrive même pas à la cheville.
Et puis avec son idée fixe voulant instaurer, coûte que coûte, un confinement général, certains spécialistes en médecine évoquent des doutes quant aux compétences scientifiques, voire les diplômes de ce personnage
Bon à rappeler que déjà en février 2021, il était le principal soutien d’un petit cadre policier réputé pour ses délires et ses histoires à dormir debout qu’il débitait à tout bout de champs sur l’avenue Bourguiba.
Une dernière fois, M. Bouguerra Zakaria, taisez-vous et laissez les compétences agir et gérer la situation. On ne badine pas avec les vies humaines et le gagne-pain des honnêtes citoyens !!!
Noureddine HLAOUI