- Une concurrence rude dont notamment ceux prisés en Allemagne, en Italie, au Qatar, au Canada et en Turquie…
Le mouvement annuel et habituel au sein de nos chancelleries à l’étranger est toujours en attente malgré les vacations constatées dans bon nombre d’entre elles.
Les postes concernés sont : Bamako au Mali, Ouagadougou au Burkina Faso, Abidjan en Côte d’Ivoire, Johannesburg en Afrique du Sud, Athènes en Grèce, Doha à Qatar, Varsovie en Pologne, Berlin en Allemagne, Pékin en Chine, Lyon (consulat général) en France, Rome en Italie, Montréal au Canada, Ankara en Turquie et Brasilia au Brésil.
On sait que les nominations des ambassadeurs font partie des prérogatives du ministre des Affaires étrangères, mais la validation définitive revient au président de la République qui détient les « clés » de la politique étrangère et internationale du pays.
Ce retard serait dû, selon des milieux bien informés, aux changements intervenus en Tunisie depuis le 25 juillet 2021, d’où l’absence d’organisation de la conférence annuelle des chefs des missions diplomatiques et consulaires à l’étranger et qui se tient, d’habitude, au cours de l’été de chaque année.
D’autre part, il est évident que la concurrence s’annonce rude pour l’octroi des chefs de postes, dont notamment ceux prisés en Allemagne, en Grèce, en Italie, au Qatar, en Chine, au Canada, en Turquie et bien d’autres.
La compétition est bien lancée en attendant qu’elle soit tranchée par le chef de l’Etat en cette conjoncture de dispositions exceptionnelles.
Noureddine H.