- Washington appelle fermement les Turcs et les mercenaires étrangers à partir
Les événements semblent se précipiter à une vitesse vertigineuse, depuis quelque temps, en Libye, notamment après l’accord conclu à Genève entre les différents protagonistes de la scène politique libyenne.
En effet, au moment où les nouveaux responsables commencent à prendre les devants en faisant des tournées à travers le pays et en rencontrant les principaux décideurs dans les différentes régions de ce pays
C’est ainsi que Mohammad Menfi, nouveau président du Conseil présidentiel libyen, et Abdelhamid Mohammed Dbeibah, élu au poste de Premier ministre, élus à l’issue du Forum du dialogue politique libyen tenu à Genève sous l’égide de l’ONU, se sont attelé à la tâche entreprendre les concertations nécessaires pour former les nouveaux cabinets au pouvoir et mettre en place les diverses structures nécessaires à la bonne marche des affaires de l’Etat.
Au moment où ils ont vu les décideurs à Benghazi et les autres à Tripoli, plusieurs sources concordantes annoncent le départ de Fayez al-Sarraj, chef du Gouvernement d’union nationale, à l’étranger sans préciser où ni pour quelle durée dans le sens où il a signé, juste, une procuration en date du dimanche 14 février 2021, au profit d’Ahmed Omar Maîtig.
Ce départ impromptu de Sarraj pour l’étranger fait soulever beaucoup de points d’interrogation, surtout que ceci coïncide avec l’appel officiel de Washington à la Turquie et aux mercenaires des milices islamistes armées de quitter la Libye
N.H