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Le « bal » ouvert avec Nabil Karoui et son parti 9alb Tounès
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Imed Deghij, qui avait promis un bain de sang aux Tunisiens, et Zied Hechmi, auteur du signe bâtard de Rabâa, parties prenantes dans les concertations à Dar Dhiafa !
Le chef du gouvernement désigné, Habib Jamli a entamé, aujourd’hui mardi 19 novembre 2019 à Dar Dhiafa à Carthage, les concertations officielles pour la formation du gouvernement en recevant une délégation du parti Qalb Tounes, conduite par Nabil Karoui et comprenant les députés, Ridha Charfeddine, Hatem Mliki et Oussama Khelifi.
Peu avant le lancement des concertations, Habib Jamli a déclaré qu’il rencontrera dans une première étape les représentants des partis puis, dans une seconde étape, ceux des organisations nationales ainsi que des compétences nationales.
Dans des déclarations médiatiques précédentes, le chef du gouvernement désigné avait affirmé que ces concertations « concernent tous les partis sans exception sauf ceux qui s’excluent eux-mêmes ». Elles seront menées selon le nombre de sièges obtenus au parlement. « La compétence et l’intégrité seront les critères de choix des membres du nouveau gouvernement », a-t-il dit.
La deuxième délégation reçut par M. Jamli, était celle d’Attayyar composée de ses deux leaders, Mohamed Abbou et Mohamed Hamdi.
L’autre délégation à être reçu est celle de la coalition d’El Karama conduite par Seifeddine Makhlouf. Ce dernier, jouant la « provocation », s’est fait accompagner par le tristement ex-chef des défuntes LPR, dissoutes sur décision de la justice, Imed Deghij qui avait promis un bain de sang aux Tunisiens, et de Zied Hechmi, qui avait créé un scandale, le jour de la prestation de serment, en brandissant le signe bâtard de Rabâa, sachant qu’il a récidivé en le brandissant de nouveau dans un plateau de la chaîne de télévision nationale publique, AL Wataniya 1 en dépit de l’opposition catégorique de la courageuse et honnête présentatrice, Elhem Knani.
A noter que peu avant le lancement des concertations, Habib Jamli a déclaré qu’il rencontrera dans une première étape les représentants des partis puis, dans une seconde étape, ceux des organisations nationales ainsi que des compétences nationales.
Le chef du gouvernement désigné avait affirmé, également, que ces concertations « concernent tous les partis sans exception sauf ceux qui s’excluent eux-mêmes ». Elles seront menées selon le nombre de sièges obtenus au parlement. « La compétence et l’intégrité seront les critères de choix des membres du nouveau gouvernement », a-t-il dit.
Noureddine HLAOUI