L’assassinat de Shireen Abu Akleh a choqué la communauté internationale et la France n’y est pas allée de mainmorte pour dénoncer ce crime ignoble de l’occupant sioniste qui ne fait pas de détails pour achever son extermination de citoyens innocents, même si les dommages collatéraux sont importants.
Les sionistes forts du soutien de nombreux pays occidentaux savent que c’est une tempête passagère et que leurs méfaits ne seront pas condamnés, par les instances instances internationales, sauf miracle.
L’ambassade de France a rendu publique une réponse de France diplomatie, à une question sur la réaction française.
« La mort de Shireen Abu Akleh, journaliste d’Al Jazeera tuée ce matin alors qu’elle couvrait une opération des forces de sécurité israéliennes à Jénine, en Cisjordanie, est profondément choquante. La France la condamne et présente ses condoléances à sa famille et ses vœux de prompt rétablissement à son confrère, Ali al-Samoudi, qui a été blessé », lit-on sur la page Facebook de l’ambassade de France à Tunis.
Il ajoute que « La France exige qu’une enquête transparente s’engage dans les meilleurs délais pour faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame.
La France réaffirme son engagement constant et déterminé, partout dans le monde, en faveur de la liberté de la presse et de la protection des journalistes et de tous ceux dont l’expression contribue à une information libre et au débat public.