La présidente du Syndicat des magistrats tunisiens (SMT), Amira Amri, a confirmé qu’il y avait une pression politique pour sur le pouvoir judiciaire pour le faire corrompu en indiquant qu’il y avait des tentatives pour maintenir le système souffrant déjà de plusieurs maux.
Dans une déclaration à Shems fm, Amira Amri a critiqué l’incapacité de l’État à fournir des outils au système judiciaire d’une manière qui lui permette de surmonter ses problèmes.
Amri a affirmé l’existence d’abus dans le système judicaire en soulignant qu’ils restent et ne touchent qu’une minorité des juges du pays.
M.Ch