
Tunis, UNIVERSNEWS (Business) – La Tunisie prendra part du 26 au 28 avril à la 3e édition du Salon Africain des affaires à Oran avec la participation de représentants de plus de 20 pays du Continent, a indiqué mardi un communiqué des organisateurs. Ce salon vise à renforcer la coopération à travers le continent africain et à explorer les opportunités de partenariat entre les entreprises algériennes et leurs homologues africaines.
L’événement réunira un large éventail d’acteurs économiques issus des secteurs public et privé. Cette plateforme d’échange vise à stimuler les relations commerciales et industrielles à l’échelle du continent, favorisant ainsi une croissance économique partagée. Cette manifestation se présente comme une opportunité cruciale de rencontre pour les acteurs économiques africains. Elle se déroule dans un « contexte international marqué par une lutte d’influence autour du marché africain et de ses ressources naturelles », soulignent les organisateurs. Cette 3e édition mettra un accent particulier sur le secteur industriel, englobant les petites, moyennes et grandes entreprises de toutes les branches d’activité.
Rencontres B2B
Au-delà de l’exposition, qui offrira une vitrine des capacités industrielles et des innovations africaines, des rencontres bilatérales seront spécialement organisées. Ces sessions de networking privilégiées offriront aux participants une occasion unique d’établir des contacts directs et de nouer des partenariats stratégiques. Ces échanges devraient contribuer significativement au renforcement du commerce et de la coopération industrielle dans des secteurs variés tels que l’agro-alimentaire, les énergies renouvelables, les mines et la logistique.
Un programme riche et diversifié de conférences et de tables rondes est également prévu, avec la participation d’experts reconnus de l’industrie africaine. Les discussions approfondiront des thèmes cruciaux tels que la Zone de libre-échange continentale africaine, les défis logistiques inhérents au développement industriel du continent, ainsi que le rôle essentiel des petites et moyennes entreprises dans la dynamisation de l’économie africain (M.S)