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Les décideurs prennent la parole dors d’une journée spéciale de débat sur Radio Express Fm
L’agriculture a représenté en Tunisie en 2019 environ 10% de son PIB (13% si on tient compte des industries agroalimentaires). Elle représente davantage si on tient compte de son potentiel à l’export, des emplois directs et indirects qu’elle génère, et de l’aspect stratégique lié à la sécurité alimentaire d’un pays.
Pendant la crise sanitaire, ce secteur a continué malgré les difficultés à fonctionner et à nourrir la population.
Pourtant il souffre de plusieurs problèmes à commencer par la situation précaire de ses acteurs que ce soit les employés ou les exploitants agricoles. L’analyse de la chaîne de valeur et la répartition des marges entre les agriculteurs, les intermédiaires et les distributeurs a souvent enflammé le débat public.
A cela s’ajoutent les questions inextricables des terres domaniales de l’Etat, ainsi que le morcellement des exploitations et ses conséquences sur les niveaux de rendement et d’investissement.
Il est légitime de se demander alors comment font les autres pays comparables à la Tunisie ? Certains pourraient avoir des bonnes pratiques que la Tunisie peut adapter et adopter ?
Il est également nécessaire de faire le point sur les innovations et autres succès déjà réalisés en Tunisie, même embryonnaires, pour capitaliser dessus.
Pour répondre à toutes ces questions, Express FM dédie une journée spéciale, aujourd’hui, mardi 23 juin à ce sujet « L’Agriculture dans l’ère post COVID », dans le cadre de sa série « Sauvons nos entreprises pour préserver nos emplois ».
Cette journée spéciale vise à faire connaître ou rappeler la situation du secteur agricole en Tunisie en général, et surtout à souligner les impacts de la crise sanitaire récente sur son positionnement et sur la nouvelle vision stratégique à mettre en oeuvre.