
- Benkirane, les islamiste, les invités nahdhaouis et les slogans hostiles à la Tunisie
- Le monarque marocain a la rancune très dure envers la Tunisie et utilise tous les moyens de déstabilisation
- Le parti de Othmani et Benkirane veut retrouver sa « virginité perdue », après tous les scandales moraux, politiques et financiers possibles qu’il a connus
Tunis, UNIVERSNEWS (Politique) – Le Maroc et son monarque ont la rancune trop dure envers la Tunisie et ils usent de tous les moyens pour enquiquiner la Tunisie… au point qu’il ne regarde pas à la manière et utilise les islamistes du Maroc qui sont une arme à double tranchant, pour atteindre les objectifs escomptés. Ces derniers n’ont pas trouvé mieux que d’appeler la confrérie à la rescousse… en invitant des membres du mouvement Ennahdha qui est dans un état lamentable, pour s’immiscer dans les affaires intérieures de la Tunisie… ce qui n’est pas vraiment amical de leur part !!!
Il semble que le « Makhzen marocain » ait mis de côté les problèmes de ses « sujets » marocains, comme il le fait depuis des décennies, et ait décidé de poursuivre son « hobby » auquel il s’accroche depuis belle lurette, pour contribuer à entraver le développement de la Tunisie, notamment dans les secteurs où les deux pays sont en concurrence, notamment le phosphate, le tourisme et certains produits agricoles.
Le propriétaire du « Makhzen marocain », le bon souverain qui se prévaut d’être le descendant du prophète Mohamed n’avait pas manqué de répondre à l’appel des USA pour nouer des relations diplomatiques avec l’entité sioniste a soutenu ceux qui ont œuvré au renversement du régime avant le 14 janvier 2011, et plusieurs informations pointent vers son implication dans la « motivation » de certains de ceux qui ont plongé le secteur tunisien des phosphates dans un labyrinthe dont il n’est pas sorti à ce jour. L’une des ironies de cette période est que le « Makhzen marocain », avec tout son bilan noir dans le domaine des libertés et des droits de l’homme, était devenu, à cette époque, un « modèle » dont certains courtiers en place en Tunisie se vantaient et qu’ils fréquentaient.
La gauche marocaine et ceux qui prévalent d’être des défenseurs des droits de l’homme dans ce pays ont joué un rôle-clé dans la mise en œuvre des «plans du Makhzen», qui ne cache pas son lien étroit avec l’entité sioniste dans «l’encadrement» de ceux qui avaient joué un rôle dans la version tunisienne du «printemps arabe». Il suffit de mentionner le séjour prolongé du roi Mohammed VI, qui était loin de son peuple, en Tunisie, et la soumission et la servilité dont a fait preuve le provisoire » Mohamed Moncef Marzouki à son égard.
Le fameux « Parti de la justice et du développement » marocain membre à part entière de la nébuleuse islamiste, étroitement lié à l’organisation mondiale des Frères musulmans, est une «copie conforme » du Parti turc de la justice et du développement. Il s’est cherché une place dans la configuration du souverain marocain et s’est placé de manière à mettre, aussi, son nez dans les affaires intérieures tunisiennes, en marquant son attachement au mouvement Ennahdha dont il avait accueilli des dirigeants à maintes reprises.
Bien que ses efforts aient toujours été vains, surtout que le mouvement Ennahdha n’est plus que l’ombre de ce qu’il avait été, ce « parti » a recommencé à s’immiscer dans les affaires intérieures de la Tunisie, lors de sa dernière conférence transformée en tribune pour les figures de deuxième rang d’Ennahdha, en particulier celles qui ont lancé des slogans contre la Tunisie.
Par ce biais, le parti de Othmani et Benkirane veut retrouver sa « virginité perdue ». Ces dernières années, il a connu toutes sortes de scandales moraux, politiques et financiers possibles, et il est devenu clair pour tout le monde qu’il n’est qu’une façade bon marché pour le propriétaire du «Makhzen marocain».