L’avocat patenté du CPR, Samir Ben Amor, dont on n’a plus entendu parler , ni de lui ni de ce qui reste de son parti, Samir Ben Amor, vient de se manifester de nouveau à travers un post publié sur sa page Facebook dans lequel il annonce que « selon des informations de sources dignes de foi, Kamel Letaïef est en train de planifier l’élimination et l’assassinat du membre du CPR, le militant Lassâad Bouazizi. Et en cas où le camarade Lassâad Bouaziz est touché, je fais assumer la responsabilité au dénommé Kamel letaïef… »
Ni plus, ni moins, c’était en substance le texte publié par l’avocat qui, il n’y a pas si longtemps, défendait avec acharnement les tristement célèbres ligues de protection de la révolution (LPR).
Et aussitôt publié, le statut de Ben Amor a été repris et relayé par ses proches et son entourage en attendant les prétendues preuves que l’avocat tient, pour le moment, à conserver pour lui-même !
Il faut dire que des personnages, à l’instar de Samir Ben Amor, Raouf Ayadi et Moncef Marzouki, qui ont lamentablement échoué à se frayer un brin de carrière politique, cherchent, de temps à autre, à refaire surface en inventant des « ogres » pour faire peur aux citoyens naïfs pouvant les croire.
Ainsi, pour l’un, c’est le Mossad, pour d’autre, c’est l’Etat profond, et dans le cas d’espèce, c’est Kamel Letaïef qui leur sert de sujet à mastiquer dans l’espoir de se faire inviter à certains plateaux radiotélévisés qui ne font plus appel à eux à cause d’un manque de tout sérieux et de toute crédibilité.
Il faut dire que personne ne croit plus aux allégations faites sur le dos de Kamel Letaïef qui, malgré le forcing fait du temps de Marzouki et de la Troïka pour le traîner devant la justice, aucune tentative ny avait réussi. Sans oublier qu’il était un des rares à avoir tenu tête aux Trabelsi protégés, à l’époque, par le régime de Ben Ali.
C’est dire que les CPRistes et autres Iradistes continuent désespérément à se faire remarquer, mais leurs subterfuges sont, désormais connus et mis à nu dans le sens où personne ne croit un mot de leurs allégations sans le moindre fondement sauf, peut-être, des preuves qui ne sont jamais rendues publiques !