- Plus d’un million et demi … et le nombre devrait augmenter… dans l’attente de revendiquer leur « droit » à la nationalité tunisienne !!!
TUNIS – UNIVERSNEWS – Le complot pour accueillir et installer plus d’un million et demi d’Africains en Tunisie se poursuit, et leur nombre ne cesse d’augmenter. Des sources bien informées ont confirmé à « UNIVERSNEWS » l’existence d’un programme colonial encadré par des associations et organisations africaines en Tunisie reposant sur trois fondements : le premier est l’accoutumance des Tunisiens à la présence des Africains, le deuxième est l’acceptation du principe de coexistence avec eux, tandis que le troisième repose sur l’accompagnement de leur installation puis la revendication de leur droit à la citoyenneté.
Par ailleurs, la même source a révélé que les associations africaines, en coopération avec l’Organisation mondiale pour la migration (OIM), organisent plusieurs activités, notamment la projection de films, traitant des problèmes des femmes africaines, qui visent à faciliter leur intégration en Tunisie et la création d’une campagne voilée de sympathie avec eux.
Certes, ces activités ne sont pas anodines, mais s’inscrivent dans le cadre du projet « Let’s Coexist », créé par une association africaine en partenariat avec « Tunisie terre d’asile ».
Ces populations font l’objet d’une politique de gestion sociale, construite et financée principalement par les organisations internationales et l’Union européenne et mise en œuvre par un ensemble de partenaires humanitaires et associatifs actifs au niveau local.
Il ne faut pas oublier, aussi, que Mohamed Moncef Marzouki, en tant que président provisoire de la Tunisie a été le premier à donner le signal d’ouvrir la porte à « l’occupation » africaine de la Tunisie, lorsqu’il a annulé le visa sur plusieurs pays africains, considérant qu’il s’agissait d’une étape pour encourager le climat d’investissement en Tunisie et faciliter l’entrée du capital africain.
Il est à noter que dans une démarche qualifiée de suspecte et d’irresponsable, l’Union Générale Tunisienne du Travail accepte la mise en place de syndicats pour les travailleurs africains, malgré le danger qu’ils font peser sur la sécurité nationale.