- Accusations gratuites, allégations mensongères et incitations contre le président de la République
- Le « tartour », qui avait ouvert les portes de Carthage aux enturbannés et aux niqabées, ose parler de traitrise
L’ancien président de la République Moncef Marzouki, venu à la magistrature suprêmepar accident avec à peine quelques milliers de voix, plus connu sous le sobriquet de « tartour », est revenu sur la scène par le biais, encore une fois, du média qatari Al Jazeera
Ainsi, Marzouki, connu, également, comme étant un « mercenaire » rémunéré par Al Jazeera, s’est lancé dans une diatribe abjecte dans laquelle il a tir, surtout, sur le chef de l’Etat.
Il a commencé par dénigrer le président de la République Kaïs Saïed le traitant de tous les noms et de tous les qualitatifs négatifs dont ceux de « menteur, fasciste, populiste et responsable de l’internationalisation du dossier tunisien ».
Marzouki, qui traite le conseiller de Saïed, de « l’homme des Emirats », lest allé jusqu’à mentir en disant que Saïed veut revenir à la constitution de 1959 parce qu’elle prone la présidence à vie et probablement parce qu’il veut devenir président à vie », alors que cette constitution ne contenait, en 59, aucun point sur la présidence à vie.
Moncef Marzouki a eu le culot de mentir en prétendant qu’Ennahdha l’avait laissé tomber en 2014 en appelant à l’élection de son rival à l’époque, feu Béji Caïd Essebsi. Pourtant, il était archi-connu que Marzouki avait obtenu plus d’un million de voix et 45% des voix grâce aux adhérents et sympatisants du parti des khouenjiya.
Et comble de l’arrogance, Marzouki, affirme que « c’est Kaïs Saïed qui représente un péril imminent pour la Tunisieet conduit le pays à la catastrophe et à la faillite, d’où la nécessité pour qu’il démissionne tout en faisant un clin d’œil aux forces militaires et sécuritaires pour l’écarter du pouvoir pour la simple raison qu’il est devenu illégitime », selon ses allégations.
Rien que pour ce dernier point, Marzouki est qualifié, par nombre d’observateurs, de « traitre »
Morale de l’histoire, est que le « tartour » mérite bien ce pseudo et qu’il confirme ses actions et ses propos contre la patrie en faisant étaler le linge national sur les étals à bas étage tel celui d’Al Jazeera. Il a démontré qu’il n’aucune retenue morale dans la mesure où il dénigre, mensongèrement, des symboles de cette nations qui ne sont plus de ce monde dont notamment Habib Bourguiba et Béji Caïd Essebsi.
D’ailleurs BCE a souvent fustigé cette manie de Marzouki de parler de la cuisine interne à des médias étranger et n’avait pas hésité à faire état, mais clairement, de ses séjours et traitements dans des établissements hospitaliers à l’étranger.
Marzouki devrait avoir la mémoire assez vice pour qu’il se rappelle son rôle mesquin dans la remise de Baghdadi Mahmoudi à Tripoli, qu’il avait ouvert les salons du Palais de Carthage aux jihadistes takfiristes, aux enturbannés et aux niqabées… »
Marzouki, qui a été plus khouenji que les khouenjiya, avait organisé la conférence à Tunis pour détruire la Syrie et avait causé les plus grands torts aux journalistes avec son livre « noir » où il mettait les représentants des médias dans le même sac.
En tout état de cause, certains juristes vont jusquà réclamer un procès à son encontre pour avoir lancé d’aussi graves accusations et autres dénigrements mensongers envers la plus haute autorité de l’Etat…
Npoureddine HLAOUI