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- Kaïs Saïed gave les Tunisiens de promesses …sans la moindre décision…!!!
TUNIS – UNIVERSNEWS – L’heure est grave concernant le dossier des migrants subsahariens irréguliers qui ont inondé plusieurs grandes villes du pays. Là où ils passent, ils ne sèment que le désordre et le chaos, dans un pays qui se débat dans une crise économique aigue et dont la seule faute est d’être aux portes de l’Europe.
Les événements des derniers jours dans la capitale économique du pays, Sfax, est un signe révélateur que cette affaire est plus grave qu’un simple problème de réfugiés clandestins, mais qu’elle fait partie d’un plan ourdi contre la Tunisie pour la faire plonger dans les abysses.
Ce plan bien préparé n’a oublié aucun détail, avec, surtout des financements occultes dont la provenance reste indéterminée… alors que les services financiers veillent au grain pour déterminer l’origine de l’argent sale !!!
Il y a, aussi, ces logements préparés, spécialement, comme c’est le cas pour les quatre Tunisiens mis en examen à Sfax, accusés de louer des habitations dans des immeubles, sans en avertir les autorités concernées, ce qui est, déjà, un délit sanctionné par la loi.
On parle de Sfax, mais la situation est aussi catastrophique à Kasserine, zone frontalière avec l’Algérie, et même de Gafsa où des Subsahariens ont attaqué, hier, un bus, on ne sait, encore pour quelle raison.
La capitale n’a pas été du reste, avec un nombre indéterminé de migrants clandestins qui trouvent du travail dans les petits commerces… là où on ne leur demande pas de présenter leurs cartes de séjour et où ils acceptent des salaires de misère… et, parfois, même, ils ne sont pas payés.
Le pire est que, après être devenus indésirables à Sfax… des centaines de migrants irréguliers ont pris le chemin de l’exode vers le Grand Tunis et cela n’augure rien de bon, surtout que certaines sources affirment que ces migrants clandestins sont infiltrés par l’organisation terroriste nigériane Boko Haram !!!
Un député de Sfax a révélé, hier, que plus de 1200 migrants irréguliers ont été refoulés de ce gouvernorat du sud, après les dernières confrontations, et ce n’est pas la joie, puisqu’ils sont restés sur le territoire tunisien.
Entretemps, le président de la République Kaïs Saïed gave les Tunisiens de promesses et de déclarations fracassantes… mais, pour les actes, il faut attendre, encore… parce que la Tunisie n’est pas sortie de l’auberge et il faut attendre pour connaitre le contenu des accords signés avec les Italiens et l’Union européenne, pour voir si, vraiment, la Tunisie cherche des solutions ou si elle va plier aux exigences des Européens… pour devenir un asile pour les migrants du continent noir !!!
Faouzi SNOUSSI