- Le « tartour » mérite toutes les sanctions qui lui sont infligées. Et ce n’est qu’un début !
- Il avait ouvert grandes les portes du Palais présidentiel aux terroristes, aux salafistes, aux niqabées et aux bandits des LPR dissoutes
- Qui peut faire confiance à quelqu’un qui veut du mal à sa nation ?
L’ex-président de la République Moncef Marzouki que la majorité des Tunisiens ne considéraient pas comme tel tout en l’affublant du sobriquet de « tartour », continue à faire des siennes pour devenir la risée des citoyens ?
N’empêche que grâce à un soi-disant passé militantiste en faveur des droits de l’Homme, il continue à bénéficier de l’écoute de certaines oreilles à travers le monde, plus particulièrement dans le monde occidental et, surtout auprès de la mouvance islamiste turco-qatarie.
Ainsi, il a été très actif, au cours des dernières semaines, plus précisément après l’action menée par le chef de l’Etat le 25 juillet 2021, pour dénigrer la Tunisie et son président en multipliant la diffusion des mensonges tout en jouant le jeu des khouenjiya du parti islamiste d’Ennahdha et des bandits takfiristes d’al-karama
Jouant sur la fibre sensible de la démocratie et du prétendu «printemps arabe », le « tartour » met tout en œuvre pour nuire à la Tunisie dans le sens où il multiplie les appels auprès des gouvernements à l’étranger pour les inciter à stopper toute aide à notre pays.
Et la dernière en date est, bien entendu, sa cavale pour faire annuler voire reporter le 18ème sommet de la francophonie devant être tenu à la fin du mois de novembre prochain à Djerba.
Et maintenant que ledit sommet est effectivement reporté, le tartour se targue d’avoir contribué à cette issue. Il se déclare même en être fier.
Bien évidemment, il ne fallait pas le laisser répandre son « venin » et le chef de l’Etat a eu raison de lui enlever ce privilège de bénéficier du passeport diplomatique en attendant d’autres éventuelles sanctions dont l’ouverture d’une enquête par le ministère public sur ses contacts avec l’étranger dans le but de porter préjudice aux intérêts de la patrie, ce qui peut être classé dans la case de la traîtrise et du complot contre la nation.
Il est bon de rappeler que cette « transe » maléfique du « tartour » ne lui est pas étrangère puisque tout le longe de son passage négatif au Palais de Carthage, il avait multiplié les actions nuisible*s au pays.
Outre son lugubre rôle dans certaines affaires de terrorisme aux frontières avec notre voisin algérien et ses messages codés par le biais de l’appareil « Thouraya », un rôle qui reste à élucider, Marzouki s’*était tristement illustré par ses proximités avec les salafistes takfiristes.
En effet, il avait ouvert grandes les portes du Palais de Carthages aux islamistes intégristes, aux femmes niqabées, aux khouenjiya criminels des tristements célèbres Ligues dites de protection de la révolution (LPR dissoutes), plus particulièrement leurs chefs de file, les bandits Imed Deghij et Recoba qui semaient la terreur parmi les paisibles citoyens.
On n’oublie pas ses lèche-bottes pour l’Emir de Qatar et ses écritures payés en tant que « mercenaire » dans le site de la chaîne propagandiste d’Al Jazeera.
Et on n’oubliera pas non plus que lors d’une de ses visites à l’étranger, plus précisément en Mauritanie, il avait beaucoup de mal de la Tunisie et de ses adversaires politiques tunisiens de l’opposition, ce qui lui avait valu, à l’époque un rappel de l’ordre de feu Béji Caïd Essebsi, alors patron de Nidaa Tounès à l’opposition.
C’est dire que pour le « tartour », le dénigrement et la nuisance à la patrie sont monnaie courante. Et c’est dire qu’il mérite toutes les sanctions qui lui sont infligées car on ne peut faire confiance à quelqu’un qui veut du mal à son pays. Et ce n’est qu’un début…
Noureddine HLAOUI