L’ambassadeur français en Tunisie, Olivier Poivre d’Arvor ne cesse de soulever la polémique tout en suscitant des réactions satiriques qui nuisent à l’image de marque de la chancellerie française à Tunis et aux relations séculaires tuniso-françaises.
Et abstraction faite des anciennes déclarations, pas toujours heureuses, sa réaction à la révélation du secrétaire général de l’UGTT quant à ses propos « en état d’ivresse » concernant la préparation de deux personnes pour prendre la relève au pouvoir en Tunisie, est loin de tout bon sens de la diplomatie.
D’ailleurs, les observateurs considèrent ce comportement comme étant une maladresse qui l’aurait amené à se rendre au siège de la Centrale syndicale sur sa demande pour tenter de remettre les pendules à l’heure.
En effet, des sources bien informées indiquent à Univers News qu’Olivier Poivre d’Arvor aurait cru, à tort, que M. Tabboubi l’a cité nommément alors qu’il avait parlé « d’un des ambassadeurs », ce qui aurait fait naître un problème entre l’ambassadeur et le service de traduction au sein de l’ambassade… ».
Or, en dépit de la gravité de cette « bavure diplomatique », l’ambassadeur énigmatique ne s’est pas arrêté en si bon chemin puisqu’après le communiqué de l’ambassade, suite à la saisie d’une importante quantité d’armes au Passage de Ras Jedir, Olivier Poivre d’Arvor a fait une déclaration dans laquelle il a tenté, sans données concrètes, de justifier et minimiser cette affaire de passage des armes.
Sans commentaires !…