Les recalés de la politique qui ont vécu, durant les onze dernière années dans l’espoir de dominer la Tunisie, ne cessent de faire parler d’eux. Leur dernière trouvaille est de constituer des « cercles de pensée » morbides, tout en bénéficiant de la bienveillance des alliés du pays, pour fomenter des plans afin de se remettre en selle et revenir sur la scène politique qui les a rejetés tout de go.
Une pléiade de ces anciens responsables a « opté » pour l’exil, tout en choisissant comme lieu de résidence la ville lumière, en l’occurrence Paris, pour leurs réunions –si l’on peut dire dans les cafés et les restaurants huppés de la capitale française, afin de mettre en place leurs plans, sachant que dans leur totale quasi-totalité ils et elles la double-nationalité.
Jamais dans le passé autant d’anciens responsables politiques tunisiens ne se sont rencontrés. Dans ce conclave, on comptait, notamment, la présence de l’ancien chef du gouvernement Youssef Chahed, l’ancien candidat à la présidentielle, Nabil Karoui, l’ancien ministre du Tourisme, René Trabelsi, et, surtout, Nadia Akacha, précédente directrice du cabinet du président de la République, auxquels s’ajoutent de responsable de la presse, notamment le célèbre Moufdi Mseddi et certains de ses acolytes. Tout ce beau monde qui avait occupé des hauts postes, dans la direction du pays, étaient pourtant tenus au « droit de réserve », pour ne pas divulguer des secrets d’Etat. A cela s’ajoute la présence d’un homme d’affaires tunisien qui s’occupe du financement de ces rassemblements.
Nadia Akacha qui a pris la poudre d’escampette, dès son licenciement par Kaïs Saïd, pour « se réfugier » à Paris, n’a pas pris de gants pour déverser son venin contre Saïd et son ministre de l’Intérieur Taoufik Charfeddine, dans un post sur sa page Facebook, le même jour, accusant le second d’être à l’origine de tous ses maux. Ce post est loin d’être innocent, surtout qu’il a été publié à partir de l’émirat de Dubaï, ce qui reflète de belle manière les capacités politiques d’une néophyte qui ne connait pas ses obligations, et cela juste un jour, après la proclamation de la victoire d’Emmanuel Macron, à la présidentielle française.
Les loups sont, toujours aux aguets et le président de la République Kaïs Saïd laisse des brèches par lesquelles ils peuvent s’introduire, pour faire du mal au pays. Pourtant, il a les armes nécessaires pour en venir à bout, sachant qu’il bénéficie de soutien d’un peuple qui n’en finit pas de subir.
Mais ses « Missiles » demeurent très de stériles … !!!
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