TUNIS – UNIVERSNEWS –L’occupation illégale de l’espace public ne cesse de gagner de l’ampleur dans la capitale et les responsables ne semblent pas s’en alarmer outre mesure. Ils sont sur les bords des routes, devant les centres commerciaux, à côté des cafés, à proximité des jardins publics. Ils vendent de tout : parfums, vêtements, tapis, jouets pour enfants, boissons en boîte, coffres forts, ustensiles de cuisine, etc.
A cet égard, il est devenu difficile d’emprunter cette place. Les passants sont obligés de slalomer souvent entre les marchandises étalées sur les trottoirs squattés par de nombreux commerçants, pour la plupart des jeunes.
Ce phénomène n’est évidemment pas propre à ces seules places. On le retrouve partout, même dans d’autres quartiers de la capitale et les principales artères et rues. La municipalité de Tunis doit-elle prendre conscience de la situation anarchique qui règne de plus en plus à cette place ?
Tant d’étalages de marchandises sont loin d’embellir les rues, au contraire, ils les enlaidissent et rebutent les visiteurs contraints à faire constamment attention où ils mettent les pieds.
L’’étalage ne doit pas occuper toute la largeur du trottoir… Le non-respect de cette règle occasionne de graves désagréments relatifs à la circulation piétonne et crée un véritable préjudice aux commerçants qui respectent les réglementations en vigueur.
M.S.