Tawfik BOURGOU
- Aide d’une prétendue ONG autrichienne pour former des gardes-frontières à accueillir les immigrés clandestins subsahariens pour les installer en Tunisie
- Plus grave est l’installation d’une police subsaharienne dans les camps des immigrés clandestins subsahariens afin qu’ils fassent leur propre police et justice
- En clair la Tunisie a perdu le contrôle d’une partie de son territoire intérieur, et cela s’appelle une colonisation
- Il s’agit d’une abdication pure et simple devant des hordes d’envahisseurs pour les établir dans le pays
TUNIS – UNIVERSNEWS – La Tunisie a perdu totalement le contrôle de ses frontières terrestres au point de demander l’aide d’une prétendue ONG autrichienne pour former des gardes-frontières à accueillir les immigrés clandestins subsahariens pour les installer en Tunisie. Au passage, l’aide a été prodiguée par une ONG liée directement ou indirectement aux renseignements autrichiens. Nous la mettons au défi de prouver le contraire.
L’Autriche n’a aucune expérience de l’Afrique du Nord, ni du Maghreb. L’Autriche aurait trop à faire si elle devait s’occuper de ses propres frontières et son ONG l’y aiderait plus utilement. Enfin la Tunisie n’est pas sur la route des Balkans et les routes migratoires qui passent par la Tunisie, n’aboutissent ni en Autriche, ni Hollande qui elle aussi s’est mise de la partie pour ne pas regarder la route de la drogue qui passe par le Maroc dont la communauté est très nombreuse en Hollande et qui y a créé une mafia. Il suffit de lire les journaux hollandais.
Mais voilà que l’Autriche se trouve à aider la Tunisie sur la frontière de l’ouest à accueillir des vagues submersives d’illégaux subsahariens, tous venant de pays souverains, plus riches que la Tunisie pour les installer en Tunisie et lieu et place de la population originelle.
Plus grave est l’installation d’une police subsaharienne dans les camps des immigrés clandestins subsahariens afin qu’ils fassent leur propre police et justice. La déclaration du ministre de l’intérieur devant l’assemblée est claire et nette. Pudiquement il appelle cela «police de voisinage», mais il s’agit d’une police ivoiro-camerounaise qui occupera le territoire tunisien. En bref, un Etat dans l’Etat. Ce que nous dénoncions il y a un an est en train d’arriver. En clair la Tunisie a perdu le contrôle d’une partie de son territoire intérieur. Cela s’appelle une colonisation. Il suffit d’ouvrir un dictionnaire juridique.
Dernier épisode en date, le ministère de la jeunesse et des sports qui organise un tournoi de foot subsaharien en Tunisie sous la direction de l’OIM qui est de facto l’autorité de gestion des immigrés africains clandestins en Tunisie. L’OIM est la seule autorité habilitée à gérer les populations étrangères, illégales, subsahariennes en Tunisie, tous venus dans une logique de colonie de peuplement, de l’aveu même du porte-parole de la Garde Nationale. Aucun pays au monde ne procède ainsi. C’est une honte nationale.
La Tunisie est le seul pays qui n’exerce plus sa souveraineté sur son territoire, où n’importe qui entre, sans titre ni droit, s’installe, amène sa marmaille, travaille, crée des associations qui maillent tout le territoire, est intégré dans le syndicat par la grâce de l’UGTT est transporté depuis la frontière par la SNCFT.
Il s’agit d’une abdication pure et simple devant des hordes d’envahisseurs pour les établir dans le pays, quand les conditions économiques et sociales chassent les Tunisiens de souche de leur patrie.
Sauf à avoir de la notion de souveraineté une définition inédite que nous ne connaissons pas encore, il s’agit d’un abandon de la souveraineté du pays. Un glissement de plus vers un statut d’une Somalie de l’Afrique du nord.
T.B.
Politologue