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Il est temps de tirer au clair la nature des financeurs de nombre d’ONG dont al-Bawsala
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Elle a utilisé al-Bawsala comme tremplin pour rejoindre l’ONG Silatech fondée par Moza !
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Lors du « jeudi noir », elle avait posté ce tweet rancunier et mesquin à propos de BCE : « Tout a une fin et il ne manquera pas ».
Les membres de l’organisation al-Bawsala sont en train de se démasquer avec leur parti pris et leurs prises de position en faveur de certains députés de partis bien déterminés et contre d’autres sans la moindre justification.
Cette ONG qu’on nous présentait comme étant au service de la transparence quant au déroulement des travaux de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
Or, plus le temps passe, plus on s’aperçoit que cette association n’a rien de neutre et qu’elle opère selon un agenda bien précis tout en faisant, réellement le « gendarme » sachant que son action de « pointage » n’a jamais été suivie de mesures concrètes.
Mais le pire est que selon des révélations avérées, cette Bawsala n’est pas nette dans le sens où son budget annuel, déclaré, de près d’un million de dinars sert à payer des personnes incompétentes qui se permettent de publier des contre vérités portant préjudice à nombre de députés dont certains se sont déjà plains.
On citera, d’abord, Hussein Jenayeh et Nabil Hajji qui se sont vus octroyer un humiliant « zéro présence » alors qu’ils affirment être parmi les plus assidus avec un taux frisant les 100% !!!
Ce n’est pas la première fois que Bawsala « fait des erreurs » dans le taux de présence des députés. La même erreur (décidément) a été commise, il y a près d’un an, concernant le député Hichem Ben Ahmed.
La même al-Bawsala a poussé les contre vérités à l’extrême pour le cas du Parti destourien libre (PDL) et sa présidente Abir Moussi désignés, curieusement comme étant le groupe le plus violent au Parlement ! Le comble de l’aberration dans le sens où cette « nette » organisation épouse exactement les « délires » des éléments d’al-Karama et d’Ennahdha.
Ce genre d’allégations aberrantes justifierait le recours d’Abir Moussi aux live et aux prises systématiques de photos et vidéos.
Par contre, al-Bawsala n’a rien vu des violences physiques subies par les élus du PDL ! Quelle crédibilité peut-on accorder désormais à cette ONG ? Zéro sur toute la ligne…
Mais si on sait les sources de revenus et les bailleurs de fonds d’al-Bawsala, on comprend mieux ses alignements et ses tentatives condamnables de propager de fausses informations afin de faire orienter l’opinion publique vers des pistes erronées.
En effet, parmi les financeurs, on retrouve le MEPI, un organisme américain dont la mission principale est de redorer l’image des USA et de servir les intérêts américains. Et curieusement, on retrouve l’implication indirecte du NDI qui paie les assistants des partis à l’ARP.
Mais, il est bon de savoir que la première présidente d’al-Bawsala n’est autre que l’activiste Amira Yahiaoui, fille de feu juge Mokhtar Yahiaoui. Ce dernier a été récompensé en lui offrant la présidence, en février 2012, de la Commission Nationale de la Protection des données personnelles.
Pour revenir à Amira Yahiaoui, notons que pour elle, al-Bawsala a été un tremplin pour obtenir une place « juteuse », en décembre 2019, en intégrant le conseil d’administration de Silatech, ONG fondée par la célèbre femme qatarie, Moza bint Nasser al-Missned, ce qui a valu des critiques sur les réseaux sociaux dans le sens où elle a été découverte sous son vrai jour de « commerçante » des droits de l’Homme, puisque ses objectifs réels sont purement lucratifs.
La même Amira Yahiaoui s’est tristement illustrée, lors du fameux « jeudi noir » du 27 juin 2019, lorsqu’elle commenta la rumeur sur le décès du président Béji Caïd Essebsi, en écrivant sur son compte Twitter : « Aujourd’hui j’ai une pensée pour toutes les personnes torturées alors que BCE était ministre et le savait. Je me souviens de sa complaisance des deux dictatures de Bourguiba et de Ben Ali. Tout a une fin et il ne manquera pas ».
Ce tweet, « minable et mesquin dénotant d’un esprit rancunier », déclencha l’indignation des internautes qui la qualifièrent « d’hypocrite et de malhonnête… ».
Ainsi, les masques sont tombés nous révélant la vérité de certains visages hideux et de ceux qui les utilisent et exploitent à mauvais escient…
Noureddine HLAOUI