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La triste « palme » revient à Nadhir Ben Ammou
Après la rencontre ayant eu lieu, samedi 15 janvier 2022, entre le chef de l’Etat et le secrétaire général de l’UGTT, les islamistes ont été piqués au vif et se sont déchaînés dans une campagne de dénigrement contre la Centrale syndicale et contre Noureddine Tabboubi.
Dans leur ensemble, les réactions tournaient autour du vers de poésie d’Ibn Zeidoun, déclamé par Kaïs Saïed, avec des jeux de mots de très bas étage.
On citera à ce propos, la vidéo de Jalel Ben Brik qui s’est découvert, subitement, une fibre d’islamiste radical, « envoûté » par le « cheikh » Ghannouchi.
Mais la triste palme en la matière revient, incontestablement à Nadhir Ben Ammou, ancien ministre de la Justice et ex-député élu sur une liste d’Ennahdha. Cet ancien universitaire, présenté comme étant indépendant et neutre, s’est avéré, non seulement, comme un « sous-marin », mais un Nahdaoui pur et dur.
N.H