La santé constitue un secteur primordial pour le Tunisien et citoyens et professionnel tablent beaucoup sur une émergence d’une politique sanitaire et médicale porteuse, surtout que la Tunisie dispose des compétences nécessaires. Il suffit donc de disposer des moyens nécessaires pour les ambitions. Toutefois, tout projet peut être irréalisable, si on se contente de promesses, alors que le pays se débat dans une crise aigüe.
Le ministre de la Santé, Ali Mrabet, a annoncé, aujourd’hui mardi, que le gouvernement a élaboré une stratégie, dans le secteur de la santé. Cette stratégie repose sur six axes, à savoir :
– Garantir une couverture sanitaire globale à tous les citoyens.
– Renforcer la capacité du pays à faire face aux maladies émergentes et aux urgences.
– Rapprocher et promouvoir les services de santé des citoyens.
– Garantir les attributs de la protection sanitaire, en particulier au niveau de la première ligne.
– Améliorer le positionnement de la Tunisie en tant que pôle régional de santé.
– Développer l’industrie pharmaceutique pour assurer la sécurité des soins.
Intervenant lors d’une conférence de presse tenue en présence de plusieurs membres du gouvernement pour présenter le programme national de réformes, Mrabet a rappelé que la Tunisie est parvenue à faire face à la pandémie du coronavirus grâce à la conjugaison des efforts des différentes parties, soulignant que le pays a atteint un taux de vaccination contre le virus de 75% , l’un des taux les plus élevés au monde, a-t-il dit.
Effectivement, à cœur vaillant, rien d’impossible et il est nécessaire de trouver les moyens matériels nécessaire, pour donner l’essor à ce secteur vital et, surtout, porteur. Il suffit de voir l’affluence des citoyens des pays limitrophes, pour se faire soigner en Tunisie, ainsi que les étrangers qui viennent se refaire une beauté, grâce à une chirurgie esthétique performante qui allie qualité et prix, pour pouvoir dire que la plateforme existe… et il suffit d’une certaine volonté politique.