Qui ne se rappelle pas ce scandale du fameux « massou » destiné, selon la présidence de la République, à faire empoisonner Kaïs Saïed, donc à l’assassiner ?!
On se rappelle, aussi selon le même communique de la présidence de la République, que la cheffe de cabinet présidentiel Nadia Akacha, avait été transportée à l’hôpital militaire après s’être évanouie et presque perdu la vue.
Or, selon une récente révélation faite par le site « Maghreb Intelligence », réputé pour ses scoops avérées, ladite hospitalisation de Nadia Akacha, « n’aurait aucun lien avec un quelconque empoisonnement comme le fait croire le communiqué de la présidence publié le 27 janvier 2021, où les services de la présidence indiquent avoir reçu une lettre contenant une poudre suspecte ».
D’après la même source citée par le site, Nada Akacha avait les symptômes d’une grippe aiguë, fatigue, forte fièvre et courbatures. Une fois que les analyses biologiques étaient entre les mains des médecins et en l’absence de toute trace suspecte d’agents pathogènes, et devant l’insistance des médecins pour en savoir plus elle a reconnu avoir reçu une injection pour soulager ses « douleurs » et qu’elle n’avait pas connaissance de la nature exacte de la substance.
Or, selon la même source de « Maghreb Intelligence, «elle souffrait d’effets secondaires assez sévères suite à une injection subie la veille de son hospitalisation ». Elle aurait également refusé de révéler le nom du médecin et de son affectation.
Et au « Maghreb Intelligence » de conclure que des infos font état « d’une campagne de vaccination anti Covid-19 qui profiterait, depuis un certain temps, à un cercle très restreint dans l’entourage du locataire du Palais de Carthage… ».
N.H