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Les vidéos qui circulent sont effrayantes : des lignes de la SNCFT ont servi au transport des criminels et des terroristes…!!
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50 euros par tête sur la ligne Ghardimaou, les immigrés débarquent à domicile, à proximité de la Manouba
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Sfax est une ville sous occupation étrangère
par Tawfik Bourgou
TUNIS – UNIVERSNEWS Cette entreprise est un gouffre financier abyssal, elle a dû consommer au moins trois fois son capital, un boulet financier d’une ampleur inégalée parmi toutes les entreprises publiques. Elle croule sous les emplois pléthoriques et injustifiés. Elle est aussi un bastion syndical. Son réseau s’est rétréci depuis l’indépendance, sa masse salariale a augmenté de façon exponentielle, alors que la productivité s’est effondrée au même temps que la sécurité des transports. Raisonnablement, un tel tonneau des Danaïdes aurait dû être privatisé depuis belle lurette et soumis à un contrôle financier aux fins de cerner les multiples sources de pertes financières, pour ne pas dire plus.
Non seulement cette entreprise est un boulet et une source d’endettement de l’Etat et de la collectivité, mais la voilà complice (nous utilisons ce mot à dessin) de l’immigration clandestine en Tunisie et de l’importation d’une population étrangère en Tunisie.
50 euros par tête sur la ligne Ghardimaou – Tunis, les immigrés subsahariens occupent le train de façon indue, illégale et en toute quiétude, ils sont débarqués à domicile, à proximité de la Manouba, une sorte de service spécial. Il ne sert à rien de chercher une quelconque mafia, celle-ci prend un moyen de transport public, l’utilise avec des complicités internes. L’argent du contribuable sert à détruire le pays.
Ce qui se passe sur la ligne Ghardimaou – Tunis, est dupliqué à l’identique vers Sfax qui peut être considérée comme une ville sous occupation étrangère tant a été rompu l’équilibre démographique et ethnique dans la ville.
Ce qui est dit de cette entreprise peut être dit de tous les autres rouages administratifs en lien avec le territorial, le transport des personnes.
Sur ces deux lignes, c’est une importation de populations étrangères que personne ne contrôle. Rien n’interdit de penser, sauf à être naïf que ces deux lignes ont certainement servi à transporter des personnes douteuses, des criminels et des terroristes, rien n’interdit de penser que ces deux lignes 5 sont aussi le vecteur de trafics d’armes et de drogues.
Les vidéos qui circulent sont effrayantes, des wagons entiers occupés par des immigrés clandestins subsahariens, aucun contrôle d’identité, rien qui ne permet de savoir qui sont les personnes qui entrent par milliers en Tunisie chaque jour.
Ces immigrés illégaux, dangereux pour la Tunisie, transportés par une entreprise publique ont été défendus de façon ostentatoire par le chef d’une centrale syndicale, à Bruxelles même. Il oublie que cette entreprise, aux yeux même du droit international, devient complice de personnes humaines et actionnable devant la justice internationale. La bêtise l’emporte sur l’ignorance et l’incompétence.
L’Etat s’est évaporé de la frontière, la garde frontalière est absente, la garde nationale aussi, les employés de la compagnie regardent ailleurs, prélèvent leur dime tout en détruisant leur propre pays, une forme de trahison qui ne dit pas son nom.
Quant au ministère de tutelle, il fait rêver les tunisiens à un TGV mais se montre incapable de gérer une guimbarde du 19e siècle.
Dans chaque interstice de l’Etat s’est logée une gangrène qui a juré de détruire le pays. C’est chose faite.
T.B.
Politologue