Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – Comme les anciens cowboys… Donald Trump tire sur tout ce qui bouge, et il semble qu’il a tout fait pour revenir au pouvoir, afin de se venger de tous ceux qui n’avaient pas cru en lui… ou tout simplement, ceux qui n’ont pas marché avec lui dans son entreprise macabre de détruire le monde.
La dernière trouvaille de ce fou-furieux est de sanctionner la Cour pénale internationale (CPI) qui avait osé pour ce que ce dirigeant fou, de sanctionner les crimes commis par Tel Aviv et de lancer des mandats d’arrêt internationaux contre Netanyahu et les sbires de son gouvernement.
Loin de chercher à adopter la voie de la sagesse qui sied le plus au dirigeant de la plus grande puissance du monde, en l’occurrence les Etats-Unis d’Amérique, il continue sur sa lancée, sur le chemin le plus périlleux qui est celui de la loi du plus fort… et, disons-le, clairement, la loi de la jungle, ce qui risque d’avoir des conséquences dévastatrices sur tout le monde.
Donald Trump a eu le culot de signer, aujourd’hui, un décret imposant des sanctions contre la Cour pénale internationale, en réponse aux enquêtes visant les États-Unis et leurs alliés, dont Israël, a annoncé un haut responsable de la Maison Blanche.
Ces sanctions, à la fois financières et liées aux visas, cibleront les individus et leurs familles qui collaborent avec la CPI dans ses investigations concernant les citoyens américains ou leurs alliés.
Cette décision intervient après que la CPI a émis en novembre des mandats d’arrêt contre le Premier ministre Benjamin Netanyahou et l’ancien ministre de la Défense Yoav Gallant, les accusant de crimes de guerre présumés à Gaza dans le contexte du conflit avec le Hamas. Israël a fermement rejeté ces accusations.
Le mois dernier, dès son retour à la Maison Blanche, Trump avait déjà rétabli un précédent décret pouvant servir de base juridique à de futures sanctions contre la CPI et son personnel. Dans la foulée, la Chambre des représentants a voté en faveur de sanctions contre la CPI, bien que le texte attende encore l’approbation du Sénat.
Ces mesures s’inscrivent dans une opposition de longue date des États-Unis à la juridiction de la CPI sur leurs ressortissants et ceux de leurs alliés, notamment Israël.