TUNIS – UNIVERSNEWS – Le journal algérien en ligne « lexpression » a révélé, dans son édition du 10 décembre 2022 tous les détails concernant le crédit accordé par l’Algérie à la Tunisie, surtout que l’accord avec le FMI a ouvert la porte à la possibilité d’avoir recours à d’autres financements de pays frères et amis, en particulier, entre autres l’Arabie saoudite, Abou Dhabi, en plus de l’Afreximbank.
On ne sait pas pourquoi les autorités tunisiennes tiennent à taire le montant de ce prêt, alos que, concernant les autres on n’a pas soufflé mot dans les comptes rendus de la visite du président Kaïs Saïed en Arabie saoudite.
Lexpression.dz écrit à ce propos : « L’arrêté numéro 934 de 2022, relatif à l’approbation d’un protocole financier signé le 1er décembre entre la République tunisienne et la République algérienne démocratique et populaire sur un crédit qui sera accordé à la Tunisie, vient d’être publié dans le Journal officiel de la République tunisienne (JORT). Selon des sources, ce nouveau crédit algérien est de 200 MUSD, ou l’équivalent de 641, 5 MDT. Ce crédit intervient après une première visite en Tunisie, le 26 novembre du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, et deux jours plus tard la visite de la cheffe du gouvernement tunisien Najla Bouden en Algérie. De son côté, Kaïs Saïed devrait profiter de sa participation en Arabie saoudite au sommet sino-arabe, pour discuter un autre contrat de crédit avec les Saoudiens. Pour rappel, la prévision donnée par Fitch Rating, sur un financement d’environ 1,3 Mds USD, de l’Arabie saoudite, d’Abu Dhabi et d’Afreximbank est au stade final des négociations ».
On ne sait pas pourquoi Najla Bouden et son gouvernement traitent-ils de cette manière le peuple tunisien qqui, comme l’a affirmé Kaïs Saïed à multiples reprises, est le seul qui décide de même qu’il est la finalité de toute action de développement. Toutefois, les décisions sont prises en haut lieu et on ne prend même pas la peine de l’en informer, alors que le développement on n’en a pas, encore, vu la couleur, jusqu’à maintenant… puisqu’il est inexistant et qu’on se débat dans les problèmes politiques, surtout, jusqu’au cou !!!