Dans une déclaration à la TAP, le secrétaire général du syndicat de l’enseignement primaire, Nabil Houaichi a indiqué que cette grève intervient en signe de protestation contre le non-respect des accords conclus entre le syndicat et l’autorité de tutelle.
Le syndicat, a-t-il dit, réclame également d’améliorer le pouvoir d’achat des instituteurs, de réviser le texte législatif organisant la profession, notamment, les questions relatives à la protection des enseignants et de fixer la liste des maladies professionnelles.
Il s’agit également de revoir le système d’évaluation et les programmes pédagogiques et d’élargir les perspectives des enseignants.