TUNIS – UNIVERSNEWS (MONDE) – Tout ce qui peut porter atteinte à l’entité sioniste est considéré comme un sacrilège, par les soutiens indéfectibles des nouveaux nazis du XXIe siècle qui considèrent que la vie des plus de 43 mille Palestiniens ne vaut rien face à ce qu’ils considèrent comme la survie d’Israël qui est un occupant sanguinaire et sauvage.
Cette fois, encore, la menace est adressée au président de la Cour Internationale de Justice à qui les sbires et les acolytes de l’entité sioniste veulent coller une étiquette de satyre sexuel, tout simplement parce qu’il a osé demander des mandats d’arrêt contre le chef du gouvernement israélien et certains de ses ministres… pourtant, avec des dirigeants du mouvement islamiste palestinien Hamas. Tous les médias occidentaux véhiculent l’idée que Karim Khan, connu pour avoir réclamé un mandat d’arrêt contre le Premier ministre israélien, est suspecté d’actes inappropriés envers une collègue… comme le dit le proverbe : « Qui veut noyer son chien, l’accuse de la rage ».
Selon ces informations, l’organe de surveillance de la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé lundi avoir sollicité une enquête externe sur les allégations de «faute présumée» du procureur général, Karim Khan. «Je prends acte de la déclaration faite aujourd’hui par la présidente de l’Assemblée des États parties», a indiqué le procureur de la CPI, qui nie les accusations portées contre lui. La CPI n’a pas encore décidé d’accorder ou non les mandats qu’il a demandés contre deux hauts responsables politiques israéliens et des dirigeants du Hamas. Pourtant, lorsque Karim Khan avait demandé, et obtenu, un mandat d’arrêt de la CPI à l’encontre du président russe Vladimir Poutine, tout l’Occident avait applaudi.
Le procureur de nationalité britannique a farouchement défendu l’indépendance de son office à la CPI, avertissant ses détracteurs de ne pas le menacer sous peine de se retrouver dans une situation juridique délicate. Dans sa déclaration réfutant les allégations, Karim Khan avait expliqué que de nombreuses attaques et menaces les visaient, lui et la CPI.